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Programmes destinés aux auteurs de violence domestique et sexuelle

L es programmes destinés aux auteurs de violences sont des éléments impor- tants d’une approche intégrée et globale de la prévention et de la lutte contre la violence à l’égard des femmes, approche qui devrait elle-même faire partie de toute politique et/ou stratégie nationales globales. Travailler avec des hommes auteurs de violence domestique et d’agression sexuelle peut contribuer à la mise en place d’un processus plus large de changement culturel et politique visant à abolir la hiérarchie des sexes, la violence fondée sur le genre et la discrimination basée sur le sexe ainsi que d’autres formes de violence et de discrimination personnelles et structurelles. En faisant comprendre aux délinquants qu’ils doivent accepter la responsabilité de leurs actes de violence, les programmes de traitement jouent un rôle essentiel, car ils permettent de surmonter les conceptions qui tolèrent, justifent ou excusent purement et simplement la violence faite aux femmes. La Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique (ci-après « Convention d’Istanbul ») intègre ces programmes dans une stratégie élargie visant à prévenir la violence à l’égard des femmes et demande aux États parties d’investir dans des programmes destinés aux auteurs de violence domestique et des programmes destinés aux délinquants sexuels (article 16).

État de santé et renoncement aux soins des bénéficiaires du RSA

Les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) sont moins nombreux à se percevoir en bonne santé que le reste de la population : moins de 60 % se déclarent en « bonne » ou « très bonne » santé, contre près de 80 % parmi l’ensemble des 18-59 ans. De même, ils déclarent davantage de limitations fonctionnelles et de problèmes de santé mentale : la part des bénéficiaires du RSA qui présentent une détresse psychologique est particulièrement élevée, 36 % versus 14 % dans le reste de la population.

Alors que leurs besoins de soins sont plus importants, ils déclarent renoncer plus souvent à consulter un médecin ou à recevoir des soins dentaires pour des raisons financières : 18 % disent avoir renoncé à une consultation médicale au cours de l’année écoulée et 27 % à des soins dentaires, contre respectivement 4 % et 11 % parmi l’ensemble des 18-59 ans....

Etudes et résultats 

L'incurie dans l'habitat

L’incurie est définie comme le « manque de soin et d’organisation ». Son étymologie est constituée du latin cura, qui signifie soin, et du préfixe in indiquant l’absence, la carence ou le contraire. Ses synonymes sont le laisser- aller, la négligence, l’abandon, l’insouciance.

Son domaine d’utilisation dépasse bien largement le domaine médical. Ainsi peut-on parler de l’incurie d’une administration ou d’un gouvernement, par exemple....

THESE

présentée à l’Université Claude Bernard LYON 1 U.F.R. LYON-R.T.H. LAENNEC et soutenue publiquement le 12 juillet 2007 pour obtenir le grade de Docteur en Médecine par Nicolas MERYGLOD

Le trouble de personnalité limite

Le présent livret est destiné aux personnes qui ont dans leur vie une personne aux prises avec un trouble de la personnalité limite (tpl). Nous espérons qu’il vous encouragera, vous et votre proche touché par le tpl, à rechercher les renseignements et le soutien dont vous avez besoin pour comprendre le trouble de la personnalité limite et pour amorcer le processus de rétablissement.

 

Guide à l'intention des familles

Guide à l’intention des membres de l’entouraged’une personne atteinte de maladie mentale

De par leur histoire et leurs similitudes, le Québec et la France ont développé, depuis plusieurs dizaines d’années, de nombreuses coopérations afin de répondre aux enjeux sociétaux communs. Si elle prend ses origines dans une volonté gouvernementale commune, la rela- tion franco-québécoise puise également aujourd’hui son dynamisme à travers les échanges entre instances locales françaises et québécoises.

Notions de base sur les maladies mentales

« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément. » (Boileau).

Voilà bien la prétention que peut relever ce guide pratique d’intervention. Nous constatons que les auteurs ont adhéré à cette maxime dans la conception de cet ouvrage car le contenu est clair,bien ordonné et surtout bien structuré pour guider les étudiants et professionnels s’initiant auxproblèmes de santé mentale. Ceux-ci pourront avoir une conception plus claire des troublesmentaux, pourront comprendre et acquérir un langage leur permettant d’échanger avec leurspairs.

Les nosographies évoluent - bientôt le DSM-V – et certains troubles mentaux seront revampés à la lumière de la recherche clinique et fondamentale récente. Mais les notions de base sur les signes et symptômes ainsi que sur les attitudes à privilégier demeurent les mêmes. Ce guide répond très bien à cela.